Les nouveaux compagnons au Parc portuaire
La troupe des Nouveaux compagnons et la Corporation du tourisme et des congrès de Trois-Rivières présentent à chaque lundi at vendredi en soirée, jusqu'au 2 septembre, la pièce "François Hertel et fille" de l'auteur trifluvien François Poisson. La première de cette production historique a lieu demain sur la place d'animation au 2e pallier.
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Benoit Voyer
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Cette initiative est une autre façon d'animer le port de Trois-Rivières et de faire revivre l’époque de la Nouvelle-France.
« C'est l'histoire de François Hertel. Son père Jacques est l'un des premiers à s'établir ici. Il a laissé à son fils les terres qu'il a accumulé en récompense pour ses bons services rendus au roi. Le scénario traite surtout de lui et de sa fille Marie-Françoise qui était une Ursuline », dit François Poisson.
La présentation comporte 3 tableaux de 8 à 10 minutes chacun. Au premier acte, l'homme se retrouve entouré de colons et d'amérindiens en route pour attaquer un fort en Nouvelle-Angleterre dans le but de sécuriser la colonie contre les futures invasions des Anglais. Le coup militaire était demandé par Frontenac. « On les voit autour d'un feu de camp, la veille de la bataille, et se racontent des anecdotes », ajoute le créateur.
Les décors sont réduits au strict minimum pour laisser ressortir les éléments naturels du paysage du fleuve et de la vieille ville.
(L’Hebdo journal, 21 juillet 1996, p. 7)
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Cette initiative est une autre façon d'animer le port de Trois-Rivières et de faire revivre l’époque de la Nouvelle-France.
« C'est l'histoire de François Hertel. Son père Jacques est l'un des premiers à s'établir ici. Il a laissé à son fils les terres qu'il a accumulé en récompense pour ses bons services rendus au roi. Le scénario traite surtout de lui et de sa fille Marie-Françoise qui était une Ursuline », dit François Poisson.
La présentation comporte 3 tableaux de 8 à 10 minutes chacun. Au premier acte, l'homme se retrouve entouré de colons et d'amérindiens en route pour attaquer un fort en Nouvelle-Angleterre dans le but de sécuriser la colonie contre les futures invasions des Anglais. Le coup militaire était demandé par Frontenac. « On les voit autour d'un feu de camp, la veille de la bataille, et se racontent des anecdotes », ajoute le créateur.
Les décors sont réduits au strict minimum pour laisser ressortir les éléments naturels du paysage du fleuve et de la vieille ville.
(L’Hebdo journal, 21 juillet 1996, p. 7)