En ce 6 septembre 2024


Aujourd'hui, voici ce qui a retenu mon attention dans les médias (mise a jour de 20h08): 

Le samedi 7 septembre 2024, l’accès aux parcs nationaux de la province sera gratuit dans le cadre de la traditionnelle Journée des parcs de la Sépaq, la 13e du genre.

SAINT-PIERRE ET MIQUELON: Miquelon lutte pour garder la tête hors de l’eau ici.radio-canada.ca/recit-numerique/10324/miquelon-relocalisation-demenagement-nouveau-village

SAINT-PIERRE ET MIQUELON: Dans l'archipel, les déchets sont brûlés a ciel ouvert, faute de solutions ici.radio-canada.ca/nouvelle/2100812/dechets-brulage-ciel-ouvert-saint-pierre-miquelon?utm_source=adestra&utm_campaign=reg.inf.na&utm_medium=infolettre&utm_term=region.acadie

HISTOIRE: L’étonnante histoire de Sillery, en 10 anecdotes ici.radio-canada.ca/nouvelle/2102027/histoire-sillery-anecdotes-patrimoine?utm_source=adestra&utm_campaign=reg.inf.na&utm_medium=infolettre&utm_term=region.quebec

ARCHÉOLOGIE: Le point sur les fouilles archéologiques en cours au Saint-Sépulcre terresainte.net/2024/09/%f0%9f%93%ba-saint-sepulcre-le-point-sur-les-fouilles-archeologiques-en-cours/

CIVILISATION OCCIDENTALE: L’Occident au point de rupture? "En plus d’une incapacité à débattre des grands problèmes auxquels nous sommes confrontés, on se rend maintenant compte que la seule arme à la disposition du peuple, c’est-à-dire la procédure électorale, est désormais refusée à ceux qui sont péremptoirement jugés trop stupides pour s’en prévaloir de manière" responsable. libre-media.com/articles/loccident-au-point-de-rupture

FINANCES PERSONNELLES: Couche-Tard constate que les gens ont moins d'argent 985fm.ca/audio/645663/couche-tard-constate-que-les-gens-ont-moins-d-argent-marie-eve-fournier?utm_source=dialoginsight

MÉDIAS: A Ottawa, Philippe Marcoux quitte Radio-Canada. a accepté un poste comme directeur de l’information et de la formation au Conseil de presse du Québec. ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/sur-le-vif/segments/rattrapage/1845221/billet-une-grande-annonce-philippe-marcoux

LANAUDIERE: Le départ de Pierre Fitzgibbon laissera des traces dans le paysage politique. Une élection partielle devra avoiur lieu dans la circonscription de Terrebonne au plus tard en mars prochain. Selon Québec 125, il s’agit d’une circonscription hautement favorable au Parti québécois (PQ). Depuis 1976, les électeurs "terrebonnois" ont élu des députés du Parti québécois 10 fois en 11 élections, avant de préférer Pierre Fitzgibbon en 2018.

LE KAMOURASKA DE MES ANCETRES: Un élève sur dix vient de l’international au Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière ici.radio-canada.ca/nouvelle/2102142/etudiant-chine-mexique-etranger-immigration?utm_source=adestra&utm_campaign=reg.inf.na&utm_medium=infolettre&utm_term=region.bsl

SANTÉ: La part plastique de nous ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/les-annees-lumiere/segments/rattrapage/1840922/microplastique-dans-notre-corps-details-avec-jean-francois-bouthillette

SANTÉ MENTALE: Se libérer de son « moi » grâce aux psychédéliques lapresse.ca/societe/sante/2024-09-01/se-liberer-de-son-moi-grace-aux-psychedeliques.php

Le Centre hospitalier régional de Lanaudière, a Joliette

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Il y a 36 ans, Jean-Paul Regimbal quittait ce monde

Par Benoit Voyer
6 septembre 2024

Ce 8 septembre est le 36e anniversaire du décès de Jean-Paul Regimbal.

Né le 4 juillet 1931, le père Jean-Paul Regimbal a été un véritable phénomène de l’histoire religieuse du Québec, du Canada et du monde catholique. A son époque, il a laissé bien peu de gens indifférents. Les uns étaient favorables à sa cause. Les autres le voyaient comme un illuminé ayant ramené le fondamentalisme en terre québécoise ou encore ils se moquaient de ce qu’on qualifiait d’exagérations ou de sensibleries religieuses.

Au Québec, dans notre mémoire collective, peu de religieux ont laissé une telle trace. Comme Victor Lelièvre, Henri Roy et plusieurs autres, il a laissé la sienne. Il est de cette race de passionnés qui a parlé de Dieu et qui a rejoint directement les attentes intérieures de milliers de personnes.

Jean-Paul Regimbal était un passionné. Il avait la passion des choses divines. Il s’est donné corps, âme et esprit pour ce Jésus qui a séduit son cœur. Il n’a jamais compté les heures. « Reposez-vous donc un peu! », lui disaient des confrères. « Je me reposerai lorsque je serai dans ma tombe! » répondait-il impulsivement, le sourire aux livres, puisque Jean-Paul avait un bon sens de l’humour.

Plusieurs de ceux et celles qui l’ont connu personnellement sont décédés. Néanmoins, il en reste quelques-uns. Je fais partie de ceux-ci.

Lui et moi
Le père Jean-Paul Regimbal est étroitement lié à mon histoire personnelle et familiale.

A partir de janvier 1974, ma mère le suit et s’impliquera à la maison de ressourcement spirituel des Trinitaires, à Granby.

En 2024, a 90 ans, il lui arrive encore, sporadiquement, d’aller faire acte de présence aux retraites spirituelles du père Michel Vigneau. Michel a connu maman alors qu’il était jeune novice. Ainsi, en 2024, il y a plus de 50 ans que maman fréquente les Trinitaires et leurs retraitants.

De mon côté, j’étais présent la première fois qu’elle a participé à une soirée de prière du lundi animée par le père Jean-Paul Regimbal. J’avais 7 ou 8 ans, si mon souvenir est bon. Bien entendu, je m’en souviens, même si je me suis endormi à ses pieds sur une couverture. C’était une longue soirée pour un jeune garçon.

Plusieurs années plus tard, mon père fera de même. Devenu un visage familier dans le réseau granbyen du père Regimbal, il sera le dernier à le visiter à l’hôpital de Granby le soir de son décès, le 8 septembre 1988.

Une mission particulière
Un jour, en tête à tête, Jean-Paul me dit : « Je me permets une petite confidence. Dans la prière, le Seigneur m’inspire. Souvent, il met dans mon cœur des certitudes. Lui, il est appelé à ceci. Un autre est appelé à ça. Et, étonnamment, grâce à l’Esprit saint, je suis bien aiguillé. Mais depuis quelques années, je n’y arrive pas avec toi. Ma seule certitude est que tu es appelé à une mission particulière, c’est-à-dire a quelque chose que le Seigneur sait et qu’il te révélera lui-même ». Il m’a fallu longtemps pour comprendre cette chose si simple.

A l’automne 2023, en effectuant mon travail de relecture de vie, j’ai pris conscience – Et ça a été comme une révélation pour moi – qu’une grande partie de mon histoire personnelle et familiale est mêlée de près ou de loin au père Jean-Paul Regimbal et à son ordre religieux.

Je l’ai assez bien connu. Je dis assez bien, puisque j’ai reçu, au fil des années, plusieurs confidences de ses frères Trinitaires et de personnes qui l’ont connu.

Jean-Paul était un homme fort intelligent, ayant une grande foi en la Trinité, loyal à son ordre religieux et à l’écoute de ses supérieurs. Et surtout, il avait un grand amour pour les gens qu’il côtoyait, en particulier pour ceux vivant des parcours de vie particulier et, pour reprendre l’expression, « pas toujours catholique ».

Ainsi donc, j’ai baigné dans l’univers de Jean-Paul, particulièrement chez les Trinitaires, à Granby, à partir de mes 14 ans.

Dès 1981, je m’ implique au sein de plusieurs de ses œuvres et j’en ai fréquentées plusieurs autres.

Plus tard, devenu adulte, lorsque je serai un artisan des médias, je poursuivrai ma découverte des suites de son travail apostolique.

Concrètement, j’ai été et je suis un témoin.

Chercher, lire, analyser et écrire
J’écris sur ma vie. Pour l’instant, ma démarche est simple et je souhaite qu’elle le demeure : Mon document autobiographique parle avant tout de mon univers personnel et des rencontres que j’ai eu le privilège de faire à titre de journaliste. En peu de mots : Je relate ce que j’ai vécu, lu et entendu au fil des ans.

Inévitablement, puisque son histoire croise la mienne de 1974 à 1988, j’écris sur le père Jean-Paul Regimbal.

En dépouillant le fonds d’archives que j’ai déposé à la Société d’histoire de la Haute-Yamaska autour de l’an 2000 et à l’aide d’anciennes publications retrouvées aux Archives nationales du Québec (les miennes et bien d’autres), je résume - si possible de manière chronologique – tous les documents que je peux consulter.

A la fin du mois de décembre 2023, j’ai retrouvé un petit opus que j’ai écrit en 1998. Il s’appelle « Nul n’est prophète… - Jean-Paul Regimbal et son œuvre ».  A cette époque, j’étais responsable des communications de la maison des Trinitaires, à Granby. Ma petite recherche visait à rédiger quelques « trucs » sur le père Trinitaire en vue d’une fête ayant pour but de souligner le 10e anniversaire de son décès. Le texte a servi à la rédaction d’articles qui ont été diffusées dans plusieurs publications et au contenu de l’émission radiophonique « Rencontre spirituelle » a Radio Ville-Marie et a une conférence donnée par Raymond Beaugrand-Champagne, l’animateur de ce rendez-vous quotidien.

Bien entendu, afin d’en faire une analyse sérieuse et y retrouver des inspirations pour ma relecture de vie, je l’ai retranscrit. Durant mes heures de travail devant mon ordinateur – transcrire un long texte est un travail de moine -, j’ai fait de longues intériorisations. Puisque je suis un témoin, j’ai décidé de réécrire le document, d’en tirer les éléments autobiographiques et de poursuivre ce travail de recherche sur Jean-Paul Regimbal en résumant dans le nouveau texte tout ce que j’intercepte en effectuant mon travail autobiographique. En d’autres termes, je garde le focus sur mon premier objectif, mais en parallèle, je traite maintenant les documents en lien avec Jean-Paul en vue de faire une nouvelle petite biographique.

Jean-Paul Regimbal est-il un saint?
Je veux répondre à une question qu’on me pose souvent : Est-ce que Jean-Paul Regimbal est un saint?

Réponse : Je n’en sais rien.

Néanmoins, je me permets quelques commentaires.

Ma première réflexion est que Jean-Paul Regimbal est à regarder avec une pointe d’humour : Sa grande qualité d’émerveillement, son côté émotif (je rappelle que c’est à la base un artiste) et sa tendance à grossir les faits réels me font souvent sourire.

Comme je l’ai écrit, je travaille à résumer ce que j’ai en main à son sujet et à rendre témoignage de ce que j’ai vu, en entendu et vécu auprès de lui, mais j’aimerais bien que des théologiens, des psychologues et d’autres spécialistes scrutent Jean-Paul afin de découvrir d’autres angles de ce qu’il a été et son message humain et spirituel. J’avoue que Jean-Paul Regimbal est un sujet de recherche fort intéressant.

Cependant, sur le plan de religieux, sa grande foi, son intense désir de Dieu, son espérance exemplaire en celui-ci et son grand amour de la Très sainte Trinité et de ses contemporains sont des exemples à imiter.

De plus, les fondements de ses entretiens sur la foi sont d’une grande richesse même si parfois il avance des idées qui ne me plaisent pas ou qui me paraissent farfelues.

Ceux qui comme moi l’ont connu savent ce qui l’animait intérieurement : C’est de vivre totalement de l’esprit biblique, sans tiédeur. Son enseignement a toujours été un appel à faire l’option radicale de Jésus Christ et à entrer dans le mystère trinitaire.

De son côté, le Vatican demande d’être prudents sur le point de l’« officialité » de sa sainteté tant que les démarches d’usage ne seront pas commencées et complétées.

Voici les étapes que Jean-Paul Regimbal aurait à franchir selon la tradition de l’Église catholique :

Dans un premier temps, il faut qu’il y ait une volonté populaire pour que sa cause soit introduite au Vatican et, en second lieu, il y a une somme considérable de renseignements à réunir. Sur ce point, mon travail de recherche-rédaction peut devenir un bon élément de départ.

Enfin, il faut convaincre un des évêques des diocèses ou il a travaillé et habité de reconnaître en Jean-Paul Regimbal une trace de sainteté. Ces évêques sont ceux de Saint-Hyacinthe, de Saint-Jean Longueuil, de Montréal et de Sault Sainte-Marie.

Le diocèse qui présentera sa cause au Vatican devra recueillir toute la documentation possible qui permettra d’écrire une biographie critico-historique pour connaître le religieux dans ses moindres détails, de sa naissance jusqu’à sa mort.

Cette « biographie officielle » sera plus ou moins grosse selon les problèmes rencontrés. Elle aura de 500 à 1000 pages. Peut-être davantage! On appelle cette étude une « positio »

Une fois cette étape franchie, le Vatican s’attardera à la dimension théologique. Ce travail consistera à démontrer que cet homme originaire de l’Ontario a vécu l’Évangile de manière héroïque, c’est-à-dire au-dessus du commun des fidèles. 

Quelques années plus tard, des historiens et des théologiens regarderont si le travail a été bien réalisé.

S’il n’y a pas d’obstacles sur la route, un comité de cardinaux scrutera le dossier et le recommandera au pape.

Entre le début et la fin du processus, au moins 15 années se seront écoulées. C’est à ce moment que le pape pourrait donner au père Jean-Paul Regimbal le titre de « vénérable ».

Ainsi nommé, les Catholiques seraient assurés que cet homme de foi est un véritable intercesseur auprès de Dieu.  Avec ce titre, le « vénérable Jean-Paul Regimbal » devra tout de même se contenter de la ferveur privée des fidèles.

Pour être considéré comme un « bienheureux », il devra accomplir un miracle certifié par la médecine. Il faut une preuve qui ne laisse aucun doute qu’il est au royaume de Dieu, au paradis. C’est pour cela que l’Église exige un miracle. Le bienheureux Jean-Paul devra en accomplir un second pour être canonisé.

Le titre de « bienheureux » permet à un diocèse ou à une région ou à une congrégation religieuse de vouer un culte public au personnage.

Enfin, la canonisation proposera celui-ci comme un modèle à imiter par l’Église universelle. A ce titre, il aura une place particulière au calendrier liturgique. Habituellement, la fête liturgique coïncide avec la date du décès puisque c’est son entrée dans l’éternité, l’entrée dans la lumière divine.

Ainsi donc, si Jean-Paul Regimbal traverse ce processus, l’Église devrait souligner sa mémoire liturgique le 8 septembre, jour de son « entrée dans la gloire des bienheureux et saints du ciel ».

Autrefois, toute la documentation qui arrivait au Vatican était examinée par l’avocat de la cause qui démontrait l’héroïcité des vertus.

De son côté, le promoteur de la foi (vulgairement appelé « l’avocat du diable ») cherchait dans cette littérature ce qui était négatif. Le candidat était jugé à trois reprises.

Depuis 1983, les règles sont plus souples. Ce sont maintenant des historiens qui font un récit objectif du candidat.

S’il est impossible de répondre à certaines difficultés, a certaines objections, la Congrégation pour la cause des saints peut arrêter ou suspendre la démarche.

Ainsi donc, il est prématuré d’arriver à la conclusion que le père Jean-Paul Regimbal est un saint.

Il est cependant possible, à titre personnel, de croire qu’il est un fidèle intercesseur auprès de Dieu et de l’invoquer dans ses prières intimes. C’est ce qu’on appelle « la communion des saints ».

Pour les croyants, les défunts ne sont jamais morts, ils sont auprès de Dieu. La profession de foi des Catholiques qui est proclamée d’une semaine à l’autre dans les célébrations eucharistiques fait référence à cela.

Ainsi donc, si on a foi au Dieu révélé par Jésus le nazaréen, on peut aussi inscrire la date du 8 septembre dans son agenda personnel afin de perpétuer sa mémoire.

Et en tout temps, on peut aller se recueillir sur sa dépouille au cimetière Saint-Antoine, à Longueuil, situé à quelques pas de la cathédrale du diocèse de Saint-Jean-Longueuil ou repose la bienheureuse Marie-Rose Durocher.

Une note : Le 29 mai 1998, a l’occasion d’une rencontre informelle a son bureau, à Montréal, le supérieur provincial des Trinitaires au Canada de l’époque, le regretté père Sylvio Michaud, m’a demandé d’être très prudent dans ma démarche de recherche, d’analyse et de rédaction parce que la sainteté de Jean-Paul Regimbal n’est pas encore reconnue par le Vatican. Bien entendu, je l’ai assuré être en accord avec lui et que ma démarche est d’ordre historique.

Je le pense vraiment : un Catholique qui veut vivre en communion avec la grande Église, respectera cela et, dans son discours, en fera référence. Élever Regimbal a la gloire des saints avant que la sérieuse enquête soit terminée, pourrait nuire au processus.

A mes yeux, la démarche d’enquête du Vatican est un acte de grande sagesse afin de ne pas présenter au calendrier des saints des personnes qui ne sont pas de vrais modèles.

C’est déjà arrivé qu’on ait dû retirer des saints du calendrier. Rapidement, il me vient à l’esprit les cas de saint Christophe et saint Alexis qui, en réalité, n’ont jamais existés.

En janvier 2024, il y a eu aussi l’histoire de la mystique italienne Luisa Piccaretta dont la béatification a été refusé par le Vatican.

Les difficultés relevées dans ses écrits étaient de nature à la fois…

a  Théologique : une conception de la divine Volonté trop mécanique et obsessionnelle ne semblant pas laisser à l’humain la possibilité d’exercer son libre arbitre;

b)  Christologique : une doctrine de la réparation et de la spiritualité « victimale » n’intégrant pas le primat de l’amour miséricordieux, immérité et inconditionnel de Dieu et risquant d’annuler ou relativiser l’offrande libre et gratuite du Rédempteur;

c)  Et, anthropologique : une spiritualité marquée par un pessimisme sur la nature humaine avec peu de références à la résurrection du Christ, à l’espérance chrétienne, à la grâce sanctifiante, à la bonté de la création et à la communion ecclésiale.

Appel à l’aide
Vous avez en main des documents à mon sujet ou au sujet du père Jean-Paul Regimbal (enregistrements audio et vidéo, correspondance, articles journalistiques, photographies, etc.) ? J’aimerais beaucoup en prendre connaissance. Tous documents que vous me donnerez (ou les copies) seront déposés à la Société d’histoire de la Haute-Yamaska afin que les futures générations se souviennent de l’homme qu’il a été. Ces documents seront conservés dans les meilleures conditions archivistique qui soit et resteront disponible aux chercheurs.

Sentier du Parc du Bois Brûlé, a Saint-Charles-Borromée

NATURE