En ce 1er février 2025


FINANCES PERSONNELLES: Le gouvernement du Canada annonce le report de la mise en œuvre du changement au taux d’inclusion des gains en capital
canada.ca/fr/ministere-finances/nouvelles/2025/01/le-gouvernement-du-canada-annonce-le-report-de-la-mise-en-uvre-du-changement-au-taux-dinclusion-des-gains-en-capital.html

ÉRIC DUHAIME: Trois solutions aux tarifs américains
youtube.com/live/Ed6BUsdn_uA

DUBÉ PAS MEILLEUR ET PAS PLUS PIRE QUE LES AUTRES: Sur X, le Dr Karim Elayoubi, médecin généraliste et urgentologue a l'hôpital de Lachute et porte-parole du Parti conservateur du Québec en matière de Santé, écrit: « L’opposition affirme que le ministre Christian Dubé ne livre pas la marchandise et que, par sa faute, les temps d’attente aux urgences atteignent des niveaux délirants. Pourtant, la réalité est beaucoup plus nuancée. M. Dubé n’est ni meilleur ni pire que ses prédécesseurs. Comme eux, il est un gestionnaire compétent et intelligent, mais il demeure enfermé dans le même paradigme : tenter de réformer le système de l’intérieur. Affirmer que les patients de niveau P3 aux urgences devraient être pris en charge par les GMF révèle une incompréhension fondamentale du réseau de santé québécois. Si l’on voulait réellement transférer ces patients vers les GMF, ces derniers devraient être dotés de scanners (TDM), d’infirmières disponibles 24/7 pour administrer des perfusions intraveineuses et de services de laboratoire complets. Autrement dit, ils devraient offrir une infrastructure hospitalière sans être un hôpital. Dans les faits, seuls les patients de niveau P5 et certains P4 pourraient raisonnablement être pris en charge par les GMF. Aller au-delà serait non seulement irréaliste, mais aussi dangereux et irresponsable. Si vous exigez davantage du réseau parallèle au système hospitalier, alors vous devez le libéraliser. Vous devez lui permettre d’hospitaliser, d’embaucher et d’investir afin qu’il puisse croître au-delà de vos tentacules bureaucratiques. Pour une réforme plus complète et fondamentale du système de santé, libre à vous de consulter le programme du PCQ.»
x.com/KarimElayoubi

RDC: Attaques contre des ambassades à Kinshasa, l'ONU inquiète pour les civils à Goma
france24.com/fr/afrique/20250128-rd-congo-attaques-inadmissibles-ambassade-france-kinshasa-goma-quai-orsay

SANTÉ QUÉBEC: Lanaudière en manque de médecins
cfnj.net/lanaudiere-en-manque-de-medecins/

PARTI CONSERVATEUR DU QUÉBEC: Élection à venir... Éric Duhaime trouverait «élégant» d’avoir le champ libre dans Arthabaska | JDQ
journaldequebec.com/2025/01/29/duhaime-trouverait-elegant-davoir-le-champ-libre-dans-arthabaska

RDC: Un conflit meurtrier en République démocratique du Congo alimenté par le...
youtu.be/lr3g4LJz6is?si=ntKxzBBanGanTkOu

Une bière "made in Lanaudière"


Comme me le disait une vieille en levant son verre: :
"C'est là qu'on se reconnaît!"
L'alchimiste est une excellente bière "made in Lanaudière".

Saint-Lin-des-Laurentides

 La circonscription de Rousseau


Saint-Lin-des-Laurentides
dans la circonscription québécoise de Rousseau
au coeur de la belle région de Lanaudière

La présentation de Jésus au temple


Par Benoit Voyer
1er février 2025

Joseph et Marie sont de nouveaux parents qui acceptent, vivent et perpétuent les traditions religieuses et sociales de leur époque. Ainsi donc, pour se conformer à la règle en usage, ils se rendent au Temple [1] afin de consacrer Jésus à Dieu puisqu’il s’agit de leur tout premier-né de sexe masculin. « Ils venaient aussi offrir le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur : un couple de tourterelles ou deux petites colombes », nous explique Luc, le narrateur de l’histoire.

Au Temple, à leur grand étonnement, ils sont attendus par deux vieillards qu’ils ne connaissent pas: un homme et une femme qui se prénomment Anne et Syméon. De leur côté, eux savent qui est ce bambin qu’ils accompagnent.

Poussé par un élan intérieur, au moment où les parents présentent l’enfant Jésus
pour se conformer au rite de la Loi qui le concerne, Syméon prend l’enfant dans ses bras et bénit Dieu en disant : « Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu le salut que tu préparais à la face des peuples : lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple ».

Pour Syméon, la rencontre de cet enfant est le point culminant de toute sa vie. Maintenant qu’il a vu le petit prince attendu, le Fils de Dieu, il peut quitter ce monde.

Et il ajoute des paroles a l’intention de Marie : « Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de contradiction – et toi, ton âme sera traversée d’un glaive. » Il faudra 33 ans pour que Marie comprenne le sens de ses paroles.

Ainsi donc, « les choses de Dieu doivent se faire selon des voies divines » [2]. Et quand le divin touche l’humain, il n’y a que des grandes choses qui puissent arriver.

Et moi, pauvre parmi les pauvres, à la fin de chaque jour lorsque je repense à toutes les petites choses qu’il m’a été permis de vivre durant ma journée, je dis à Dieu, comme Syméon : « Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix », car je t’ai reconnu toi la Lumière sur ma route. Je t’ai reconnu a travers tous les gens que je rencontre.

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[1] Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse pour la purification, les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur, selon ce qui est écrit dans la Loi : Tout premier-né de sexe masculin sera consacré au Seigneur. Ils venaient aussi offrir le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur : un couple de tourterelles ou deux petites colombes. Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C’était un homme juste et religieux, qui attendait la Consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui. Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur. Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple. Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait, Syméon reçut l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant : « Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu le salut que tu préparais à la face des peuples : lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël. » Le père et la mère de l’enfant s’étonnaient de ce qui était dit de lui. Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère : « Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de contradiction et toi, ton âme sera traversée d’un glaive – : ainsi seront dévoilées les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre. » (Lc 2, 22-35)
[2] En octobre 1932, durant une retraite spirituelle chez les Carmes, à Ségovie, en Espagne, lieu où repose saint Jean de la croix, saint Josémaria Escriva écrivait dans son journal intime : « Les choses de Dieu doivent se faire selon des voies divines. Moi, je suis à Dieu, je veux être à Dieu. Quand je le serai véritablement, lui se chargera tout de suite d’arranger tout (…), en récompense de ma foi et de mon amour (…) Laissons le Seigneur agir » Cité par Andres Vazquez de Prada dans Le Fondateur de l’Opus Dei – Vie de Josémaria Escriva -Vol 1, Le Laurier, Wilson& Lafleur, 2001, pp.473-474

René Lévesque – Aucun peuple n'est a l'abri de ses propres bêtises

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