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Benoit Voyer, Roméo Voyer et Yvon Voyer, a Mont Carmel, Kamouraska, durant les vacances de juillet 1967. |
En ce 14 juillet 2025
L'agrandissement de l'Hôpital Pierre Le Gardeur avance bien
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La construction de la nouvelle tour de onze étages de l'hôpital Pierre Le Gardeur, a Terrebonne, avance bien. Les ouvriers travaillent surtout à l'intérieur en ce moment. |
Vente de papier hygiénique au profit de la Fondation Charles Bruneau
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Grande vente de papier hygiénique et d'essuie-tout au profit de la Fondation Charles Bruneau. Aidez mon fils Jean-Pascal a dépasser l' objectif de sa collecte pour la recherche. JP fera le Grand Tour cet été. Passez votre commande sans tarder!! Écrivez-moi, je vous mettrai en contact avec lui: voyerbenoit8@gmail.com |
Perte de controle sur l'autoroute 20
Les trucs de Marcel Lafrance pour être un bon gestionnaire
Les trucs de Marcel Lafrance pour être un bon gestionnaire
Benoit Voyer
L’ancien principal actionnaire de la MIL Davie de Lévis, Marcel Lafrance, était dans la région, la semaine dernière, pour parler aux membres du Club d’administration du Canada de Granby de sa vision de la performance en entreprise.
Celui qui est maintenant à la retraite a commencé par pointer les sentiments d’impuissance qui affectent les entrepreneurs : informatique, robotique, libre-échange, ALENA, coupure des subventions de l’État, etc.
« Mon constat d’impuissance laisse la place a une certaine latitude qui dépend que de moi », disait-il au groupe d’hommes et de femmes d’affaires.
Selon M. Lafrance, une entreprise doit être performante pour être rentable et offrir un produit de qualité.
« Il faut avoir en tête la satisfaction du client. De plus, on ne m’enlèvera pas de la tête qu’une business qui ne crée pas de richesse puisse survivre car, quand il n’y a pas de profits, il ne peut y avoir de formation, d’investissement, d’expansion et d’entreprise à long terme », raconte le conférencier.
Marcel Lafrance estime que la compétition est féroce et va le devenir de plus en plus. Dans l’avenir c’est le client qui deviendra le maitre de la situation en montrant ses exigences. L’entreprise devra donc fournier un produit de qualité.
« Il faut aussi savoir livrer sa marchandise a temps, ajoute-t-il. Dans ma carrière, ma plus grand force ça été cela ». Plus un projet est en retard, plus il risque d’être dispendieux à fabriquer.
Il estime que le plus bel exploit remporté au Québec, c’est la construction de Terre des hommes. « C’était un succès magistral de planification », explique-t-il. A l’opposé le Stade olympique est le pire.
Dans certaines entreprises ou règne la contestation et l’anarchie, son expérience que cela est souvent l’expression d’un appel au leadership.
« Un leader c’est quelqu’un qui a des objectifs qu’il transmet à tous dans son entreprise par un message ayant un contenu et des détails. Il doit surtout être capable d’écouter et questionner. Ce qui énerve les gens, c’est la non-communication.
Après la réalisation d’un projet, il faut savoir s’arrêter pour prendre conscience comment on y est parvenu ensemble. Cela l’aide l’entrepreneur à faire mieux.
(L’Hebdo Granbyen, 19 avril 1995, p.26)
L’ancien principal actionnaire de la MIL Davie de Lévis, Marcel Lafrance, était dans la région, la semaine dernière, pour parler aux membres du Club d’administration du Canada de Granby de sa vision de la performance en entreprise.
Celui qui est maintenant à la retraite a commencé par pointer les sentiments d’impuissance qui affectent les entrepreneurs : informatique, robotique, libre-échange, ALENA, coupure des subventions de l’État, etc.
« Mon constat d’impuissance laisse la place a une certaine latitude qui dépend que de moi », disait-il au groupe d’hommes et de femmes d’affaires.
Selon M. Lafrance, une entreprise doit être performante pour être rentable et offrir un produit de qualité.
« Il faut avoir en tête la satisfaction du client. De plus, on ne m’enlèvera pas de la tête qu’une business qui ne crée pas de richesse puisse survivre car, quand il n’y a pas de profits, il ne peut y avoir de formation, d’investissement, d’expansion et d’entreprise à long terme », raconte le conférencier.
Marcel Lafrance estime que la compétition est féroce et va le devenir de plus en plus. Dans l’avenir c’est le client qui deviendra le maitre de la situation en montrant ses exigences. L’entreprise devra donc fournier un produit de qualité.
« Il faut aussi savoir livrer sa marchandise a temps, ajoute-t-il. Dans ma carrière, ma plus grand force ça été cela ». Plus un projet est en retard, plus il risque d’être dispendieux à fabriquer.
Il estime que le plus bel exploit remporté au Québec, c’est la construction de Terre des hommes. « C’était un succès magistral de planification », explique-t-il. A l’opposé le Stade olympique est le pire.
Dans certaines entreprises ou règne la contestation et l’anarchie, son expérience que cela est souvent l’expression d’un appel au leadership.
« Un leader c’est quelqu’un qui a des objectifs qu’il transmet à tous dans son entreprise par un message ayant un contenu et des détails. Il doit surtout être capable d’écouter et questionner. Ce qui énerve les gens, c’est la non-communication.
Après la réalisation d’un projet, il faut savoir s’arrêter pour prendre conscience comment on y est parvenu ensemble. Cela l’aide l’entrepreneur à faire mieux.
(L’Hebdo Granbyen, 19 avril 1995, p.26)
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