Benoit Voyer en liberté: Lors de la neuvaine à Notre-Dame du Cap « Quantité de malades furent guéris spontanément »

Par Benoit Voyer
11 août 2024

En octobre 1975, dans la revue Liturgie et vie chrétienne[1], le père Jean-Paul Regimbal raconte : « Exerçant depuis cinq ans le ministère de guérison, j’ai pu constater l’efficacité remarquable de la foi personnelle et communautaire implorant la guérison des malades même atteints de maladies incurables. Lorsque, par surcroit, les circonstances me permettaient d’offrir le sacrement des malades, j’ai pu constater l’efficacité propre de ce sacrement particulier. Il me souvient notamment d’avoir exercé ce ministère en public a la basilique de Notre-Dame-du-Cap lors de la neuvaine en l’honneur de l’Assomption de Marie. Quantité de malades furent guéris spontanément soit au moment de l’onction elle-même, soit encore durant la bénédiction du Saint-Sacrement qui suivit immédiatement. Cas de cécité, un de surdité, deux de sclérose en plaques, etc. Il y eut en tout un peu plus de trente guérisons. »

[1] Cf. Jean-Paul Regimbal. ”La liturgie dans le renouveau charismatique”, Liturgie et vie chrétienne, no, 90 octobre-décembre 1975, pp. 294 à 320. www.benoitvoyerenliberte.blogspot.com/2024/06/la-liturgie-dans-le-renouveau.html

BENOIT VOYER

Originaire de Granby, en Estrie, Benoit Voyer travaille en santé mentale dans un hôpital lanaudois. Il habite la ville de Sainte-Julienne, dans Lanaudière. Jadis, il a œuvré dans la monde des communications, notamment a titre de journaliste spécialisé dans le domaines culturel et en sciences des religions. Bien qu'il ne soit pas toujours en accord avec les idées véhiculées par la droite, il s'intéresse au conservatisme politique, social et religieux. Il mène notamment une recherche sur Jean-Paul Regimbal (1931-1988), prêtre catholique de l'Ordre de la très sainte Trinité. En ce moment, il est en processus de relecture de vie. Il revisite ses archives personnelles. Il fait aussi une recherche sur le faux saulnier René Étienne Voyer (1715-1785), premier membre de sa lignée en Amérique et pionniers de Sainte-Marie de la Nouvelle Beauce. Le terrain qu'il a défriché et ensemencé correspond de nos jour a l'avenue Marguerite Bourgeoys et ce qui pourrait être son prolongement dans la colline jusqu'a l'autoroute 73. L'église et le premier cimetière de municipalité sont sur une parcelle du terrain qu'il a légué. Benoit Voyer offre une vision différente de la société, des nouvelles qui retiennent son attention et du contenu qu'on ne retrouve pas ailleurs sur la toile.